Le PSG entre dans l’histoire : un triplé légendaire salué par toute la presse européenne
Le Paris Saint-Germain a signé l’une des plus grandes saisons de son histoire. Un an après le départ de Kylian Mbappé, le club de la capitale a conquis l’Europe, en remportant la première Ligue des Champions de son histoire. La victoire 5-0 contre l’Inter Milan en finale, à l’Allianz Arena de Munich, est venue couronner une campagne étincelante. Un triplé Ligue 1 – Coupe de France – C1 que la presse internationale n’a pas manqué d’encenser.
Un sacre historique unanimement salué
Dès le coup de sifflet final, les plus grands quotidiens européens ont titré en lettres majuscules sur cette démonstration de force.
L’Équipe en France a ouvert son édition spéciale avec un simple mais puissant : « Enfin ! », accompagné d’une photo d’Achraf Hakimi en liesse, bras levés. Le quotidien sportif a décrit « une performance d’une pureté rare, un chef-d’œuvre collectif où la jeunesse a répondu présent, encadrée par des cadres impeccables. »
La Gazzetta dello Sport en Italie, malgré l’amertume nationale, a reconnu sans détour : « L’Inter humilié, Paris sacré roi d’Europe. » Le journal évoque un PSG « plus rapide, plus fort, plus intelligent dans chaque duel. »
El País en Espagne titre pour sa part : « Luis Enrique, architecte d’un chef-d’œuvre. » Le journal madrilène a salué l’ancien sélectionneur espagnol, qui a « transformé une équipe orpheline de Mbappé en un collectif imprévisible et redoutable. »
Un PSG jeune, flamboyant et redouté
La presse européenne s’est aussi émerveillée devant la jeunesse de l’effectif parisien. Le quotidien néerlandais De Telegraaf a établi un parallèle avec l’Ajax Amsterdam vainqueur de la C1 en 1995 : « Paris a remporté la Ligue des Champions avec la plus jeune équipe depuis 30 ans. »
Des joueurs comme Senny Mayulu, Désiré Doué ou encore Bradley Barcola ont illuminé la compétition par leur culot et leur fraîcheur.
Le journal allemand Süddeutsche Zeitung écrit que « les Parisiens ont fait preuve d’une maturité tactique et émotionnelle rarement vue à ce niveau. »
Une finale à sens unique selon les médias
La démonstration contre l’Inter Milan a marqué les esprits.
The Guardian en Angleterre, très critique envers les Italiens, parle d’un « bullying tactique » : « Ce n’était pas une finale, c’était une leçon. » Le journal londonien note : « Dembélé a déchiré les lignes, Hakimi a transformé sa latérale en autoroute, et les milieux ont étouffé chaque velléité adverse. »
Corriere dello Sport souligne la nuit cauchemardesque des hommes de Simone Inzaghi : « Inter a tout perdu : la finale, son identité, et une partie de son avenir. » Le quotidien évoque une équipe « dépassée par l’intensité et la variété offensive du PSG. »
Un triplé pour l’éternité, des fondations solides pour l’avenir
En France, les hommages se sont multipliés. Le journal Le Monde parle d’une « saison charnière », celle d’un club qui « a enfin trouvé sa voie, en s’émancipant d’une dépendance individuelle pour embrasser l’intelligence collective. »
Le New York Times évoque même un changement de statut : « Le PSG n’est plus un prétendant. C’est un modèle. »
Même la presse sud-américaine, comme Olé en Argentine, souligne la performance de ce groupe cosmopolite qui a « balayé les scepticismes et les vieux démons du club parisien. »
Paris n’a plus peur de rêver
Ce triplé historique n’est pas qu’un aboutissement : il est le point de départ d’une nouvelle ère.
Luis Enrique, avec sa vision claire et son exigence tactique, a transformé un groupe prometteur en machine à gagner. La presse mondiale a rendu hommage à cette révolution tranquille, où les jeunes talents ont pris le pouvoir, soutenus par des cadres engagés.
Le PSG a non seulement gagné, il a marqué les esprits. Et dans l’histoire de la Ligue des Champions, le 31 mai 2025 restera une date gravée en lettres d’or. Foot24news.com