Ligue des Champions : PSG et Barça en terrain hostile : la révolte gronde à Birmingham et Dortmund
Le quart de finale retour. Ce moment où tout peut basculer. À Birmingham, Villa Park attend le PSG avec une impatience fébrile. À Dortmund, le Signal Iduna Park refuse de croire que l’histoire est déjà écrite. Ce mardi soir, l’Europe du football retient son souffle.
À Villa Park, Unai Emery convoque la mémoire et la fureur
Le score de l’aller n’a pas brisé l’espoir. Il l’a allumé. Menés 3-1 à Paris, les hommes d’Unai Emery savent ce qu’il faut faire : frapper fort, tôt, ensemble. L’Espagnol n’a pas cherché à cacher son ambition.
« Nous voulons écrire l’histoire d’Aston Villa. »
Sa voix portait loin, jusqu’au cœur de Villa Park, où les supporters préparent déjà l’enfer sonore. L’équipe anglaise est en forme, irrésistible à domicile, et encore invaincue depuis des mois sur sa pelouse.
En face, le PSG avance avec prudence. Solide à l’aller, mais souvent fébrile quand la tension monte. Luis Enrique le sait : ce quart retour n’est pas gagné, malgré le score. Il faudra gérer la pression, l’ambiance, et le jeu.
Dortmund, orgueil sous pression contre un Barça en contrôle
Le Barça a frappé fort, très fort. Quatre buts à zéro, à l’aller, face à un Borussia Dortmund tétanisé. Mais les matchs retour ne se jouent pas sur le papier. Ils se jouent dans le regard, dans les duels, dans l’énergie du stade.
Le Signal Iduna Park ne s’est jamais contenté de saluer les perdants. Ce mardi, il pousse ses hommes à réagir. Edin Terzić, lucide, sait que la mission frôle l’impossible. Mais pas question de se présenter en victime.
Le Barça, lui, n’a qu’un objectif : finir le travail. Hansi Flick refuse la moindre complaisance.
« Il faut montrer notre force dès le début », a-t-il martelé.
La qualification semble en poche, mais le football n’aime pas les certitudes. Et Dortmund, à domicile, n’est jamais vraiment mort.
Deux matchs, deux contextes, une seule vérité : rien n’est fini
Aston Villa rêve d’un exploit. Dortmund d’une revanche. Paris et Barcelone sont en position de force. Mais pour passer, il faudra plus qu’un bon résultat à l’aller. Il faudra répondre au feu, à la foi, à la folie. Foot24news.com